Festival de Deauville 2023

Le meilleur du cinéma américain

5 Premières mondiales / 5 Premières internationales / 16 Premières françaises / 11 premiers films / 60 films sélectionnés dont 14 en compétition et plus de 130 séances / 16 films de réalisatrices sur les 38 nouveaux films présentés / Plus de 300 professionnels et équipes de films accrédités

Le Festival de Deauville présente, depuis 49 ans, le MEILLEUR DU CINEMA AMERICAIN.

Ce festival est unique en Europe et exclusivement dédié au cinéma outre-Atlantique. Plusieurs sections témoignent de la vitalité et de la diversité inégalées de cette cinématographie : la Compétition, exclusivement réservée aux films indépendants (on a pu y découvrir Damien Chazelle ou Debra Granik) ; les Hommages aux PERSONNALITES MYTHIQUES en leur présence (de Stanley Donen, à Lauren Bacall en passant par Tom Cruise, Clint Eastwood ou Sylvester Stallone…) ; Le nouvel Hollywood, qui honore l’avenir en invitant comédiens ou comédiennes, fleurons du CINEMA DE DEMAIN (Elle Fanning, Robert Pattinson, Jessica Chastain, Ryan Gosling, Chloë Grace Moretz…) ; Les Docs de l’Oncle Sam pour plonger la REALITE DE LA SOCIETE AMERICAINE… Deauville se veut, à travers le regard des cinéastes, un instantané qui, chaque année, raconte une nouvelle histoire de l’Amérique.
En bref, Deauville célèbre l’excellence artistique, celle de sa compétition mais aussi celle de ses jurys qui réunissent le meilleur du cinéma français contemporain.

Plus d’informations sur le site officiel du festival : https://www.festival-deauville.com/

Où est la beauté ? Dans la splendeur du vrai, répondit jadis le plus grand des philosophes.

Où est la vérité ? demanda l’apprenti. Dans le service de l’art qui grandit l’Homme et l’élève à sa vertu de démiurge, quand le divertissement, selon son étymologie, le détourne du noble but.

À Deauville, les films et la programmation se veulent un geste artistique, contestable ou partagé, mais fermement ouvrier de la 25^e heure du cinéma et de sa nouvelle cinéphilie. Nous enchantons l’avenir, trace d’un demain qui appartient aux poètes, réalisateurs d’une pellicule oubliée qui tutoie la transcendance.

Les rencontres entre le public et les artistes exaltent l’énergie du verbe, les hommages témoignent de notre admiration pour les récipiendaires, les jurés, par leurs discussions, et le palmarès élèvent le regard de tous, les partenaires participent de la réalisation du projet. Tous sont les acteurs de ce qui nous réunit. La connaissance rassemble et l’ignorance divise. Oui, à l’ordre du semblable, nous préférons la différence et l’égalité des dignités.

Les filmeurs dessinent l’onde lumineuse qui traverse le festival, semant une aurore dans le jardin de septembre. Les augures, ancêtres bienveillants des réseaux, ont annoncé ce tapis rouge et parfois volant, qui rubéfie nos émotions comme l’antichambre de nos amours au goût des baisers de cinéma.

Le festival enseigne l’écran pour miroir d’un monde où les œuvres traduisent les problématiques ontologiques et sociologiques qui inquiètent les créateurs. Là-aussi, la vérité de l’art est la vérité du jour. Un dialogue silencieux et secret circule entre les cinéastes de Cannes, de France et des États Unis présents à Deauville. Suivons-les sur ce chemin d’or, en accompagnant l’homme de fer du Magicien d’Oz en quête d’un cœur. « There Is No Place Like Home ». Vous êtes arrivés, posez votre télécommande, vous êtes au cinéma, vous êtes à Deauville.